Comité central d’entreprise
de France Télécom
Edito
Ce 2ème Comité Central
d’Entreprise était
exceptionnel, mais
nécessaire, car la
nouveauté réclame du
temps ! Les élu-es ont
eu à cœur de permettre
le fonctionnement du
CCE dans l’intérêt du
personnel. Mais
l’essentiel de cette
séance a consisté en
échanges, parfois vifs,
entre les représentant-
es des salarié-es et ceux
de l’entreprise à propos
de tout notre quotidien
professionnel. Si nos
revendications sur la
Pentecôte les a laissés
sourds, la direction a
été contrainte de
réviser à la baisse ses
ambitions premières
sur les indemnités de
congés payés des sala-
riés de droit privés ou
sur la note sur les
congés présentée dans
les CE des directions
régionales.
Nous espérons bien être
les grains de sable qui
gripperont la machine
sur tous les sujets qui
préoccupent les salarié-
es et dont le CCE aura à
se préoccuper. On
recommence dès le 18
et le 19 mai...
Un CCE «normal»
Les élu-es étaient réuni-es ce 20
avril pour un CCE exceptionnel
afin d’épuiser des sujets restés en
suspend pendant la séance précé-
dente et émettre un avis sur
l’avenant à l’accord santé pré-
voyance pour les salariés de droit
privé du Groupe avant qu’il soit
soumis à signature.
Fonctionnement du CCE
Les commissions sont désormais
toutes constituées et peuvent
commencer leurs travaux. Les
élu-es SUD ont proposé la créa-
tion d’une commission sur la
politique de France Télécom et
ses conséquences économiques
et sociales dans les Départements
d’Outre Mer. Le vote de cette déci-
sion qui pouvait faire consensus
a été reporté. Afin de pourvoir
au fonctionnment du CCE une
résolution demandant une rever-
sion d’une partie du budget de fonc-
tionnment des CE et l’élaboration a
été voté. Enfin, les élu-es ont
désigné les représentants du CCE
au Conseil d’Administration ( l e
Secrétaire CGT) et à l’Assemblée
Générale des actionnaires (1 titu-
laire Sud et 1 suppléant Fo).
La direction reconnait ses erreurs
Les représentants de France
Télécom ont convenu dans ce
CCE que l’employeur avait tardé
à